Karlsruhe Institute of Technology
De Mai à Août 2016, Arnaud MANSAT audiovisuel est en tournage au Bénin et au Togo afin de réaliser un documentaire de 26 minutes sur le projet DACCIWA.
20 tonnes de matériel ont quitté le Centre de Recherche Atmosphérique de Lannemezan et le Karlsruhe Institut of Technology à destination du port d’Hambourg où elles seront chargées sur un navire et acheminées à Cotonou. Le transport et la logistique sont assurés par ULISSE-CNRS.
Pour suivre le tournage: https://ulisse.exposure.co/ulisse-mer-terre-air/
Un nouvel outil pour observer l’infiniment petit, les chercheurs de l’Institut de Physique Nucléaire d’Orsay font partie de l’équipe internationale chargée de constribuer au nouveau détecteur de particules du Jefferson Lab (USA). Les chercheurs de l’IPNO ont conçu les scintillateurs qui seront livrés au J-Lab à l’aide d’ULISSE, Unité logistique du CNRS.
Le LAM, Laboratoire d’Astrophysique de Marseille est en charge de l’intégration et l’installation du spectrographe PFS SUMIRE, Prime Focus Spectrometer sur le télescope SUBARU d’Hawaï. Dans le cadre de ce programme de recherche international, les équipes du LAM ont fait appel à ULISSE, Unité Logistique Internationale Services et Soutien aux Expériences du CNRS pour assurer le transport des instruments. Ceux-ci sont assemblé, intégrés et vérifiés à Marseille puis transportés démontés jusqu’au télescope SUBARU sur l’île de Mauna Kea d’Hawaï.
Un projet en cours…
Laboratoire d’Astrophysique de Marseille
Laboratoire Géosciences de Rennes 1 (Observatoire des Sciences de l’Univers, OSUR)
Laboratoire écologie fonctionnelle et environnement, Unité Mixte de Recherche CNRS, INPT, Université Fédérale de Toulouse
Unité Mixte de Services du CNRS dédiée à la logistique et au transport. Unité de Logistique Internationale Services et Soutien aux Expériences
client: ULISSE CNRS Année: 2015
Né en 2009, le projet ANR Diaphane est le fruit de la rencontre entre deux chercheurs, Jacques Marteau, physicien des particules à l’Institut de Physique Nucléaire de Lyon (IPNL/Université Claude Bernard Lyon 1/CNRS/IN2P3) de l’Université Claude Bernard Lyon 1, et de Dominique Gibert, géophysicien à Géosciences Rennes de l’Université de Rennes 1.
C’est en mêlant leurs compétences et leurs savoirs que Jacques Marteau et Dominique Gibert, ont eu l’idée d’utiliser des particules cosmiques appelées muons pour observer l’intérieur d’un volcan. Produites naturellement par l’interaction du rayonnement cosmique primaire et de l’atmosphère, ces particules, sortes de gros électrons, vont traverser les kilomètres de roches qui composent un volcan pour pouvoir observer ce qu’il s’y passe.
En utilisant le même principe qu’une radiographie classique, les télescopes installés à des endroits stratégiques captent les muons. Les chercheurs obtiennent ensuite une image par densitométrie de contraste comme une radio clinique classique
Les volcans antillais, comme celui de la Soufrière (il y pleut plus de 10 m d’eau par an au sommet), sont soumis à une forte pluviométrie et donc à de l’érosion. Cette eau s’infiltre par des cavités, atteint la chambre magmatique, s’échauffe et s’acidifie. Quand elle remonte, on parle d’éruption phréatique. L’effet produit est le même que celui produit dans une cocotte-minute. Les radios permettent donc de savoir où se situent les cavités remplies d’eau et de pouvoir les surveiller. Quatre détecteurs tournent en permanence.
De plus, le volcan de la Soufrière est un volcan très actif et très dangereux, ces recherches permettent donc de surveiller son activité et son comportement.
Cette expédition a demandé une année de préparation pour pouvoir installer les détecteurs à l’été 2015 en collaboration avec les services d’ULISSE (cellule logistique du CNRS). L’équipe se rend sur place une fois tous les deux mois pour effectuer de la maintenance et des repérages.
L’unité, intégrée à la Direction Générale Déléguée aux Ressources du CNRS (DGD-R) prend en charge un prototype, une expérience « neuve », riche de toutes les promesses portées par une équipe de recherche et se charge de l’acheminer sur un site d’expérience. Elle doit assurer un transport fiable, dans un délai précis, et pour un coût acceptable. En cas d’échec, cette expérience ne disposera peut-être pas du temps ou des moyens nécessaires pour reproduire les conditions de réalisation adéquates. L’enjeu de ce déplacement est donc crucial, et ULiSSE, consciente de ce défi, met tout en oeuvre pour que soient réunies les conditions de la réussite de vos expériences.
Pour les années de l’unité, ULISSE a confié à Arnaud MANSAT la réalisation d’un clip de présentation de ses activités.
client: Dr G. Simonet / GET Année: 2015
Dans le cadre du MOOC (Massive Open Online Courses) « causes et enjeux du changement climatique », le chercheur Guillaume Simonet a fait appel à Arnaud MANSAT audiovisuel afin de réaliser la vidéo sur le thème « adaptation au changement climatique ». Ce MOOC original utilise les animations graphiques et le mode interview pour présenter ce cours.
Diffusion de « VODAVOS, chercheur d’eau en Sibérie » produit par ULISSE CNRS, R. TEISSERENC et Arnaud MANSAT audiovisuel suivie d’un débat avec le public au planétarium de la cité de l’espace de Toulouse dans le cadre de la Nuit Européenne de Chercheurs 2015. Présentation animée par Pierre Arbus, enseignant chercheur à l’ESAV, Ecole Supérieure d’Audiovisuel de Toulouse.
TIBO est un artiste multi-facettes qui depuis 15 ans déjà, explore les genres musicaux accompagné par le compositeur Mister Ro. Ils produisent en 2015 un nouvel album, « Noctambule », un voyage musical fait de savanes africaines, de déserts et déambulations nocturnes dans Paris…
TIBO et Mister ont confié la réalisation du clip de « Braqueur d’amour » à Arnaud MANSAT audiovisuel.
Entièrement tourné sur fond vert, illustré par les peintres / illustratrices Eben Art et Virginie Guesdon, ce clip a réuni une quinzaine de personnes afin de créer l’ambiance souhaitée par les 2 artistes: un voyage conté « comme à la taverne du port, assis à la table du fond ».
Le laboratoire d’Ecologie fonctionnelle et environnement de Toulouse (EcoLab) réalise des expérimentations en Sibérie sur le fleuve Ienisei depuis deux ans afin d’étudier le comportement et la dynamique de la matière organique et des contaminants dans les grands fleuves arctiques. En collaboration avec une équipe internationale, les recherches portent notamment sur un moment hydrologique déterminant pour les flux de matières: le dégel et la crue de printemps.
Récit en images de cette expérience de terrain au nord du cercle polaire…